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 Hail to the Thief ft. Kaylin

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James Holsey

James Holsey

Messages : 16 depuis le : 22/08/2019

Métier : Propriétaire d'une Plantation
Statut & Orientation : Homosexuel


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MessageSujet: Hail to the Thief ft. Kaylin   Hail to the Thief ft. Kaylin Icon_minitimeMer 16 Oct - 15:49

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La nuit était tombée sur  l’immense plantation de la famille Holsey. Bien que de cette famille, il ne reste qu’un homme, seul à la tête de toute une armée d’esclaves, évoluant tel des fantômes dans l’obscurité, éclairés par la seule lueur des  lampes. Ici, le temps restait suspendu, et le travail n’arrêtait jamais. La journée était destinée au labeur des champs, mais la nuit était le moment propice pour les conspirations et les discussions secrètes. C’était là que les esclaves qui se cachaient la journée osaient sortir des baraques pour prendre un peu d’air frais. Car les ordres étaient clair : tant qu’ils étaient là, aucun voisin ou curieux ne devait les voir. Le but était de les transférer le plus vite possible sur une autre propriété, puis une autre, et ainsi de suite, jusqu’à la liberté. Les moments de calme et de repos étaient de ce fait rare, car chaque âme présente sur sa communauté était animée par ce besoin de briser des chaînes socialement imposées. Ce besoin les consumait tous, au point de parfois oublier de se reposer. James n’était pas une exception. Eclairé par la faible lueur d’une lampe à l’huile, entouré des babioles ayant jadis appartenues à son père, dans une pièce immense qui avait servit de bureau accueilli plusieurs générations d’hommes, il était là, seul, entouré de livres et de larges piles de feuilles. Lassé de se retrouver là comme tant d’autres nuits, à parcourir ses registres contenant des noms d’esclaves, et les coûts associés à toutes ces vies dont il était responsable.  Chaque nom avait une histoire qu’il aurait pu conter. Mais sur ces pages, on ne trouvait que les informations essentielles : nom, âge, couleur, famille éventuelle, prix d’achat. C’était à ça qu’on les réduisait. Des listes interminables de lettres et  de chiffres. Cela faisait maintenant des années que James s’était lancé dans cette aventure, et le but final semblait s’éloigner chaque jour. L’émancipation des esclaves avait beau être le débat du moment, le Sud restait attaché à l’économie actuelle.

Impossible de  rester optimiste au quotidien. James, avait l’impression de devoir lutter contre le monde entier : des centaines d’esclaves arrivaient aux Etats-Unis chaque jour, et il ne pouvait rien faire  pour arrêter ce flot constant de nouvelles âmes à sauver. Chaque jour, il entendait parler d’esclaves qui s’échappaient, et qu’on rattrapait quelques kilomètres plus loin. Chaque jour, il se sentait coupable de ne pas pouvoir sauver tout le monde. Alors que ses pensées tournaient dans un cercle interminable, un esclave fit son apparition dans le grand bureau, visiblement essoufflé.

Esclave : Monsieur, Monsieur ! On a trouvé quelqu’un qui volait dans le stock de nourriture !

Décidemment, la vie ne voulait pas le laisser tranquille. Soupirant, lassé de cette nuit qui ne faisait que commencer, il n’avait pas envie de s’embêter avec un problème mineur, alors qu’il essayait d’apprendre aux esclaves a s’auto gérer et  à ne pas compter sur lui dès qu’ils avaient une question.

James : Et tu devrais être capable de régler ce problème tout seul.
Esclave : Non Monsieur, vous ne comprenez pas, cette personne ne devrait pas être sur la propriété, ce n’est pas un esclave.

Son regard changea, et James se leva rapidement, à la fois surprit et inquiété  par cette nouvelle. Lui qui se méfiait déjà des voisins, un nouveau problème montrait le bout de son nez. Qui pouvait bien débarquer à cette heure ci, ici, et sans s’annoncer ? Les mendiants avaient pour habitude de rester à la porte s’ils voulaient quémander de la nourriture, et tout  le monde savait qu’il n’y avait pas besoin de voler sur les propriétés riches, qui se faisaient un plaisir de donner aux pauvres pour pouvoir se faire mousser en société derrière. Voilà pourquoi James était inquiet : ce n’était pas un comportement habituel. Attrapant son fusil au cas ou, il suivit son esclave jusqu’à un petit lot de baraques qui servait de quartier résidentiel. On lui ouvrit la porte, et il s’arrêta net, baissant son arme lorsqu’il réalisa que l’intrus était... une femme ? Hm. Quelque peu perturbé, il se tourna vers son esclave un court instant, cherchant une réponse sans avoir à poser la question.

Esclave : On l’a surprise à voler Maître !
James : Je t’ai déjà dit de ne pas m’appeler Maître
Esclave : Pardon maître, euuuh je veux dire pardon, Monsieur.
James : Shh. Pars.

Le regard de James s’était déjà détourné de l’esclave pour revenir sur la voleuse, se demandant si elle était réellement venue pour cette raison.  Elle était dans un coin de la pièce, avec, non loin d’elle, un vieux sac de pomme de terre contenant son « butin ».  James alla farfouiller dans le sac pour voir tout ce qu’elle avait décidé de prendre, et décida enfin de lui adresser la parole :

James :  Tu te doutes de ce que je vais te demander... Qui es tu ? Et pourquoi as tu besoin de tout ça ?

De nature optimiste, il avait envie de la croire. Après tout, personne n’allait envoyer des espions par chez lui, et il n’y avait aucune raison d’être paranoïaque. Mais il avait horreur des surprises, et il détestait l’idée de se dire que quelqu’un était aller fouiner dans ses affaires. Et si elle avait vu quelque chose qu’elle ne devait pas voir ? En tant normal il lui aurait juste dit de partir et de ne jamais revenir. Mais la nuit changeait les perspectives, et il était hors de question qu’elle s’en sorte sans expliquer d’ou elle venait, et comment elle avait atterrit là. Il voulait bien croire au hasard, mais il allait falloir le convaincre. En attendant, inutile de l’effrayer ou de la traumatiser : ces techniques là marchent plutôt sur les hommes. James essaya donc de ne pas prendre sa voix autoritaire, et opta pour sa voix sociale qu’il utilisait en société. Ferme mais sans animosité.

James : Tu sais que…tu peux simplement demander ?  Nous avons de la bien meilleure nourriture dans les cuisines. Où tu aimes simplement les ballades nocturnes chez les étrangers ?

On dit que l’humour délie les langues, n’est ce pas ?  C’était après tout un monde civilisé, nous n’étions plus au temps ou les voleurs perdaient leurs mains, et la dernière chose que James voulait, c’était d’avoir des officiers de police chez lui. Mais ça, elle n’avait pas besoin de le savoir. Car après tout, c'était à elle de s’expliquer !
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Kaylin Smoke

Kaylin Smoke

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Métier : chasseur de prime
Statut & Orientation : hétéro, célibataire

Maybe there's a God above. But all I've ever learned from love. Was how to shoot somebody who outdrew ya. And it's not a cry that you hear at night. It's not somebody who's seen the light. It's a cold and it's a broken Hallelujah

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MessageSujet: Re: Hail to the Thief ft. Kaylin   Hail to the Thief ft. Kaylin Icon_minitimeDim 27 Oct - 20:14

Hail to the thief
Kaylin & Thomas


« Ah mais c’est bon ! Lachez-moi !.  »


Je savais qu’il ne servait à rien de commencer à me débattre. Ils étaient trop nombreux, et je ne voulais pas montrer tous les tours que j’avais dans mon sac. Alors je me laissais docilement amener dans une pièce, sac de pomme de terres dans les bras. Je n’étais pas une voleuse, mais il fallait bien que je trouve quelque chose à faire dans ce monde pour survivre. Et pour l’instant toutes mes tentatives pour trouver quelque chose de « convenable » avaient échoués. Et je commencais à avoir faim, à vouloir une douche, à vouloir un lit… Alors oui il me fallait de l’argent. Et j’avais du me décider à aller voler. Voler quelques pomme de terres ne pouvaient pas réellement manquer à quelqu’un… Enfin c’est ce que j’essayais de me dire. Mais me voilà coincée… Bravo Kay ! Finalement un homme rentre… j’observe l’arme à la main. Ai ca ne s’annonce pas super bien pour moi. Vous savez ce qui m’amuse toujours ? C’est que nous les femmes on remarque bien vite si on a affaire à une brute ou pas. Ainsi je peux déjà vous dire que l’homme que j’avais en face de moi n’était pas un de ces brutes qui maltraitent les femmes. Pour cause en me voyant il avait déjà baissé son arme. Si j’avais été un homme aucun doute l’avait il gardé pointé sur moi. Comme ci les femmes pouvaient être moins dangereuse… Enfin ici cela jouait dans mon avantage car je venais d’apercevoir déjà une partie du caractère de l’homme que les autres appelaient maître…. J’aurais vraiment du mieux écouter en cours d’histoire…. Aujourd’hui je regrettais de ne jamais avoir aimé rester assise sur les bancs d’école. Mais que voulez vous ? J’ai toujours été trop vite, trop active, trop irréfléchi selon certains.


« Je doute fort que mon nom vous serve à quelque chose.  »



Ah oui… Têtue comme une mule j’avais oublié cette qualification. Non j’avais pas envie de dire mon nom. C’était mon droit non ? Et à la question qu’il me posait ensuite j’arquais un sourcil. Il le faisait exprès de me poser des questions idiotes ? Car j’étais experte pour donner des réponses idiotes.

« Les cuire et tous les manger….  »
Je soupire en voyant son regard et y ajoute.
« Les revendre.  »
Oui déjà que je n’aimais pas les pomme de terre, mais c’est facile à vendre, ca ne périme pas vite. Et avec l’argent j’aurais pu m’acheter autre chose telle que du pain et du lait. Bref de la vraie nourriture. Peut-être même de la bière… Quoi que vu l’époque à laquelle je suis tombée, je me demande si la bière est buvable… Pff… pourquoi est-ce que j’ai suivit ce con ? Me voilà coincé dans une époque ou y a rien de bon…. Gourmande comme je suis, je suis encore une fois gâtée par la vie.


« Demander ?  »


Je ne suis pas de la dernière lune non plus. Certes d’une autre époque, mais depuis quand on dit aux voleurs, oh t’avais qu’à demander ? Au fond je me demandais ce qu’il voulait. Je l’avais volé, c’était claire non ? Je ne niais pas les faits. Alors qu’il appelle le sherif… ou je sais pas comment ca s’appelait ici et qu’on en finisse. De toute manière j’étais une bonne crocheteuse de serrures. Suis sure que celles de l’époque doivent être super facile. Enfin je l’espère.

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MessageSujet: Hail to the Thief ft. Kaylin Hail to the Thief ft. Kaylin Icon_minitimeMer 16 Oct - 15:49

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La nuit était tombée sur  l’immense plantation de la famille Holsey. Bien que de cette famille, il ne reste qu’un homme, seul à la tête de toute une armée d’esclaves, évoluant tel des fantômes dans l’obscurité, éclairés par la seule lueur des  lampes. Ici, le temps restait suspendu, et le travail n’arrêtait jamais. La journée était destinée au labeur des champs, mais la nuit était le moment propice pour les conspirations et les discussions secrètes. C’était là que les esclaves qui se cachaient la journée osaient sortir des baraques pour prendre un peu d’air frais. Car les ordres étaient clair : tant qu’ils étaient là, aucun voisin ou curieux ne devait les voir. Le but était de les transférer le plus vite possible sur une autre propriété, puis une autre, et ainsi de suite, jusqu’à la liberté. Les moments de calme et de repos étaient de ce fait rare, car chaque âme présente sur sa communauté était animée par ce besoin de briser des chaînes socialement imposées. Ce besoin les consumait tous, au point de parfois oublier de se reposer. James n’était pas une exception. Eclairé par la faible lueur d’une lampe à l’huile, entouré des babioles ayant jadis appartenues à son père, dans une pièce immense qui avait servit de bureau accueilli plusieurs générations d’hommes, il était là, seul, entouré de livres et de larges piles de feuilles. Lassé de se retrouver là comme tant d’autres nuits, à parcourir ses registres contenant des noms d’esclaves, et les coûts associés à toutes ces vies dont il était responsable.  Chaque nom avait une histoire qu’il aurait pu conter. Mais sur ces pages, on ne trouvait que les informations essentielles : nom, âge, couleur, famille éventuelle, prix d’achat. C’était à ça qu’on les réduisait. Des listes interminables de lettres et  de chiffres. Cela faisait maintenant des années que James s’était lancé dans cette aventure, et le but final semblait s’éloigner chaque jour. L’émancipation des esclaves avait beau être le débat du moment, le Sud restait attaché à l’économie actuelle.

Impossible de  rester optimiste au quotidien. James, avait l’impression de devoir lutter contre le monde entier : des centaines d’esclaves arrivaient aux Etats-Unis chaque jour, et il ne pouvait rien faire  pour arrêter ce flot constant de nouvelles âmes à sauver. Chaque jour, il entendait parler d’esclaves qui s’échappaient, et qu’on rattrapait quelques kilomètres plus loin. Chaque jour, il se sentait coupable de ne pas pouvoir sauver tout le monde. Alors que ses pensées tournaient dans un cercle interminable, un esclave fit son apparition dans le grand bureau, visiblement essoufflé.

Esclave : Monsieur, Monsieur ! On a trouvé quelqu’un qui volait dans le stock de nourriture !

Décidemment, la vie ne voulait pas le laisser tranquille. Soupirant, lassé de cette nuit qui ne faisait que commencer, il n’avait pas envie de s’embêter avec un problème mineur, alors qu’il essayait d’apprendre aux esclaves a s’auto gérer et  à ne pas compter sur lui dès qu’ils avaient une question.

James : Et tu devrais être capable de régler ce problème tout seul.
Esclave : Non Monsieur, vous ne comprenez pas, cette personne ne devrait pas être sur la propriété, ce n’est pas un esclave.

Son regard changea, et James se leva rapidement, à la fois surprit et inquiété  par cette nouvelle. Lui qui se méfiait déjà des voisins, un nouveau problème montrait le bout de son nez. Qui pouvait bien débarquer à cette heure ci, ici, et sans s’annoncer ? Les mendiants avaient pour habitude de rester à la porte s’ils voulaient quémander de la nourriture, et tout  le monde savait qu’il n’y avait pas besoin de voler sur les propriétés riches, qui se faisaient un plaisir de donner aux pauvres pour pouvoir se faire mousser en société derrière. Voilà pourquoi James était inquiet : ce n’était pas un comportement habituel. Attrapant son fusil au cas ou, il suivit son esclave jusqu’à un petit lot de baraques qui servait de quartier résidentiel. On lui ouvrit la porte, et il s’arrêta net, baissant son arme lorsqu’il réalisa que l’intrus était... une femme ? Hm. Quelque peu perturbé, il se tourna vers son esclave un court instant, cherchant une réponse sans avoir à poser la question.

Esclave : On l’a surprise à voler Maître !
James : Je t’ai déjà dit de ne pas m’appeler Maître
Esclave : Pardon maître, euuuh je veux dire pardon, Monsieur.
James : Shh. Pars.

Le regard de James s’était déjà détourné de l’esclave pour revenir sur la voleuse, se demandant si elle était réellement venue pour cette raison.  Elle était dans un coin de la pièce, avec, non loin d’elle, un vieux sac de pomme de terre contenant son « butin ».  James alla farfouiller dans le sac pour voir tout ce qu’elle avait décidé de prendre, et décida enfin de lui adresser la parole :

James :  Tu te doutes de ce que je vais te demander... Qui es tu ? Et pourquoi as tu besoin de tout ça ?

De nature optimiste, il avait envie de la croire. Après tout, personne n’allait envoyer des espions par chez lui, et il n’y avait aucune raison d’être paranoïaque. Mais il avait horreur des surprises, et il détestait l’idée de se dire que quelqu’un était aller fouiner dans ses affaires. Et si elle avait vu quelque chose qu’elle ne devait pas voir ? En tant normal il lui aurait juste dit de partir et de ne jamais revenir. Mais la nuit changeait les perspectives, et il était hors de question qu’elle s’en sorte sans expliquer d’ou elle venait, et comment elle avait atterrit là. Il voulait bien croire au hasard, mais il allait falloir le convaincre. En attendant, inutile de l’effrayer ou de la traumatiser : ces techniques là marchent plutôt sur les hommes. James essaya donc de ne pas prendre sa voix autoritaire, et opta pour sa voix sociale qu’il utilisait en société. Ferme mais sans animosité.

James : Tu sais que…tu peux simplement demander ?  Nous avons de la bien meilleure nourriture dans les cuisines. Où tu aimes simplement les ballades nocturnes chez les étrangers ?

On dit que l’humour délie les langues, n’est ce pas ?  C’était après tout un monde civilisé, nous n’étions plus au temps ou les voleurs perdaient leurs mains, et la dernière chose que James voulait, c’était d’avoir des officiers de police chez lui. Mais ça, elle n’avait pas besoin de le savoir. Car après tout, c'était à elle de s’expliquer !
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« Ah mais c’est bon ! Lachez-moi !.  »


Je savais qu’il ne servait à rien de commencer à me débattre. Ils étaient trop nombreux, et je ne voulais pas montrer tous les tours que j’avais dans mon sac. Alors je me laissais docilement amener dans une pièce, sac de pomme de terres dans les bras. Je n’étais pas une voleuse, mais il fallait bien que je trouve quelque chose à faire dans ce monde pour survivre. Et pour l’instant toutes mes tentatives pour trouver quelque chose de « convenable » avaient échoués. Et je commencais à avoir faim, à vouloir une douche, à vouloir un lit… Alors oui il me fallait de l’argent. Et j’avais du me décider à aller voler. Voler quelques pomme de terres ne pouvaient pas réellement manquer à quelqu’un… Enfin c’est ce que j’essayais de me dire. Mais me voilà coincée… Bravo Kay ! Finalement un homme rentre… j’observe l’arme à la main. Ai ca ne s’annonce pas super bien pour moi. Vous savez ce qui m’amuse toujours ? C’est que nous les femmes on remarque bien vite si on a affaire à une brute ou pas. Ainsi je peux déjà vous dire que l’homme que j’avais en face de moi n’était pas un de ces brutes qui maltraitent les femmes. Pour cause en me voyant il avait déjà baissé son arme. Si j’avais été un homme aucun doute l’avait il gardé pointé sur moi. Comme ci les femmes pouvaient être moins dangereuse… Enfin ici cela jouait dans mon avantage car je venais d’apercevoir déjà une partie du caractère de l’homme que les autres appelaient maître…. J’aurais vraiment du mieux écouter en cours d’histoire…. Aujourd’hui je regrettais de ne jamais avoir aimé rester assise sur les bancs d’école. Mais que voulez vous ? J’ai toujours été trop vite, trop active, trop irréfléchi selon certains.


« Je doute fort que mon nom vous serve à quelque chose.  »



Ah oui… Têtue comme une mule j’avais oublié cette qualification. Non j’avais pas envie de dire mon nom. C’était mon droit non ? Et à la question qu’il me posait ensuite j’arquais un sourcil. Il le faisait exprès de me poser des questions idiotes ? Car j’étais experte pour donner des réponses idiotes.

« Les cuire et tous les manger….  »
Je soupire en voyant son regard et y ajoute.
« Les revendre.  »
Oui déjà que je n’aimais pas les pomme de terre, mais c’est facile à vendre, ca ne périme pas vite. Et avec l’argent j’aurais pu m’acheter autre chose telle que du pain et du lait. Bref de la vraie nourriture. Peut-être même de la bière… Quoi que vu l’époque à laquelle je suis tombée, je me demande si la bière est buvable… Pff… pourquoi est-ce que j’ai suivit ce con ? Me voilà coincé dans une époque ou y a rien de bon…. Gourmande comme je suis, je suis encore une fois gâtée par la vie.


« Demander ?  »


Je ne suis pas de la dernière lune non plus. Certes d’une autre époque, mais depuis quand on dit aux voleurs, oh t’avais qu’à demander ? Au fond je me demandais ce qu’il voulait. Je l’avais volé, c’était claire non ? Je ne niais pas les faits. Alors qu’il appelle le sherif… ou je sais pas comment ca s’appelait ici et qu’on en finisse. De toute manière j’étais une bonne crocheteuse de serrures. Suis sure que celles de l’époque doivent être super facile. Enfin je l’espère.

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